Nombre de messages : 1792 Age : 37 Localisation : partout Date d'inscription : 03/09/2007
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Sujet: La venu d'un nouveau dieu Dim 19 Avr - 11:24
Chapitre 1 LA PAUSE DE LA MARQUE
Clad qui avait combattu depuis un long moment du coter allianceux avait remarqué qu’il n’aboutirai jamais a la force qu’il convoitait car il lui fallait la rancœur et la haine. Et cela il ne pouvait l’obtenir avec des amis elfes, c’est pourquoi il rejoignit son ancien clan et repassa du coter de la horde. Après quelque jour passer à tuer ce qu’il trouvait sur son passage il décida de rendre dans un coin reculer du monde là où se terrai un scientifique cingler qui travaillait pour un démon.
Il arriva sur une île bizarre rien a par du sable a perte de vue, quelque palmier bien feuillu qui protégerait des rayons du soleil qui étaient assez agressif en cette période, il n’y avait rien qui prouvait que c’était bien ici. Il avança en se dirigeant ver le centre de l’île, après plusieurs heure de marche il se décida à faire une pause.
L’air était si doux a l’ombre des arbres qu’il finit par s’endormir, a son réveil il était enchaînée sur une table d’opération, il se débattait pour tenter de s’en aller lorsqu’un homme arriva il est était d’une blouse blanche. Cela ne faisait aucun doute qu’il était un scientifique.
Clad : qui est-tu ?
Hollander : je m’appel hollander je suis un très grand scientifique grâce à moi tu va obtenir la force que tu convoitais
Clad : et comment compte tu faire sa ?
Hollander : en te déposant la marque de la comète qui c’est écraser il y a de sa longtemps, mais sa force est rester dans la planète et j’ai trouver comment l’utiliser
Clad : je n’en veux pas de ta marque
Hollander : croit tu avoir le choix ahahahahahahahaha
Sur se rire clad fut frapper et perdit connaissance ………
Il fut réveiller par une douleur atroce a son omoplate gauche, quelque chose le brûlait. Il trouva une glace et aperçu la marque, elle était en forme de comète comme lui avait dit le cingler mais pourquoi était elle flamboyante. La douleur était si grande qu’il finit par s’écrouler au sol.