Sur le fil de la plume... ( créations poétiques)

arf je me sen toujours petit face au recit de syhl lol, encore une foi poesie tré jolie avec de bonne ryme lol

tu est notre muse a tous

a voui pas mal ^^
magnifique

d'un coup on se trouve classe même en ayant perdu^^

Un néant
Une obscurité impénétrable
Un univers de ténèbres
Quelque part en son sein
Une ombre
La silhouette d'un être qui fut jadis un homme
Non que son corps soit décharné
Mais aucun souffle ne semble l'animer
Toute vigueur toute vie semble l'avoir fuit
Des dizaines de chaines l'entravent
De tout part
Filant de chaque cotés de l'être
Lié aux poings aux pieds au cou
Chaque membre
Chaque once de chair recouverte de chaines...
Une très faible lueur
Comme celle d'une nuit éclairée par la lune
Dessine les contours de l'individu
Une masse hirsute de cheveux sombres en bataille
Masque son visage courbé...
Soudain
Dans un mouvement lent et fatigué
Il redresse légèrement la tête
Ses yeux d'un bleu pale aux teintes grisâtres
Anormalement visibles malgré la nuit sans fin
M’apparaissent...
Terrifiants
Insondables
La colère, la haine, mais surtout la plus profonde des tristesses
Qu’ils renvoient semble tellement forte que je les sens se déverser en moi.
Sous le choc...je le regarde...
Il a cette même silhouette...
La mienne...
Ce même regard
Le mien...

C’est à cet instant que je m'éveille...

°0° °0° °0° °0° °0°

N'amour... c'est splendide !!!!
j'adore, c'est noir, c'est fort, c'est... whouaa!

(quand je le disais qu'en chacun de nous il y a un poète qui sommeille! le tout c'est de l'éveiller ^^)

Encore ! encore !

OOOOOO joli !!!!!

Tu peu en refaire une j'adoooore

voui ba faudra attendre mon retour^^


j'aime quand tu aime ma chtite n'amoureuse
je ferais tout pour te plaire

ZUT! Il l'a fait! Maintenant faut que je trouve autre chose pour me foutre de lui!

Au fait, question :

'UN' ombre?

je vais le manger tout cru!^^

Sortir…
ma vue se brouille
il fait sombre
trés sombre
juste quelques taches de lumière par ci par là
qui me déroutent
je n'arrive pas à me concentrer
mes pensées s'emballent
rien ne m'empéchera d'y parvenir
sortir de cet enfer…
là toute proche
la sortie…
plus que quelques marches
je vois la lumière qui filtre tout là haut
plus de flash
plus qu'une profonde obscurité
et cette faible lumière
mon salut
au sommet
ils arrivent
me tirent en tout sens
ils me bousculent
crient
veulent m'empecher de m'échapper
je voudrait me débattre
mais je n'ai déjà plus de force
je les sent qui me portent
mais ils ne m'auront pas
j'y arriverai cette fois
malgrés leurs efforts
je me rapproche encore…
on m'installe sur une table
je les sent tout autour de moi qui m'observent
m'enfoncent des objets pointus de part en part
m'injecte des substances étrangères
m'envoient même de grosse décharges
mais c'est peine perdue
elle vient à moi pour me sauver
je le savais
elle ne pouvais pas m'abandonner
elle, n'aurait pas put me trahir
elle étend ses bras
m'envèle dans sa cape
je suis bien...si bien
enfin libre
je ne souffrirai plus à ses côtés
elle m'aide à gravir les dernières marches
je jette un coup d'oeil en arrière
je les voient
qui pleurent qui crient
il s'acharnent sur ce qui a été mon corps
dans une salle d'op
mes poignets sont pansés
mais c'est inutile
je suis déjà partit
enfin la mort vient m’arracher
à ce monde cruel et sans saveur
ma seule amie
m'étreind dans ses grand bras…

hehehe pas mal stoufinou, tu nous cache trop souvent ton côté artistique

lol^^

ce topic est malheureusement moins de vie qu'a son époque d'or je me doit de relancer tout ça^^

Vous avez remarquez que si on fais la courbe du truc sur le coté sa fait un cardiograme

( bon ok je sort)

Sinon bravo stouf pour la prose !!

c'est superbe n'amour.... et je sens comme un appel ??? te sentirais-tu délaissé par hasard ?? ^^

une seule critique... rectifie juste le dernier mot... pasque, j'avoue, j'étais bien dans le trip, mais au dernier mot j'ai explosé de rire... ça a tout cassé et c'est vraiment dommage...

ai souvent envie d'écrire quand je vais pas bien et là je sent comme qui dirait ma muse qui pointe son nez

Sombre est la prison où je me tiens captive,
L’espace y est retreint, autant que la lumière
Qui parvient à peine entre les feuilles de lierre
A colorer un peu ma pâleur maladive.

Le temps s’est arrêté pour moi depuis longtemps,
Depuis que quelques mots jetés sur le papier
Ont fait de moi un être en garde à vue, placé,
En vu d’un jugement – et depuis, seule, j’attends.

Ils m’ont laissé les fers comme à un condamné
Entravant du même coup et mes gestes et ma joie
De vivre, et dans les Ténèbres où je me noie
J’ai senti peu à peu la foi m’abandonner.

Suis-je donc coupable ? Quelle sera la sentence ?
Que me reproche-t-on, quel acte ai-je commis
Pour qu’on me traite ainsi comme la pire des ennemies,
Me laissant me débattre avec mon ignorance…

Car plus que la douleur, c’est ça qui me torture,
Insoutenable attente, funeste incertitude,
Rien ne vient troubler l’angoissante inquiétude
Qui m’étreint en imaginant mon sort futur.

Pourtant, aujourd’hui, je sens comme un espoir,
Comme si tous ces Dieux que j’avais tant priés
Allaient tendre l’oreille et exaucer mon souhait,
Me délivrant enfin de cette cellule noire.

Un bruit de clés, une bougie, une sentence:
« Le juge mandaté pour traiter votre affaire
Après revue des faits, les a jugés peu clairs ;
Ne pouvant statuer en cette première instance

Décide de reconduire l’enquête déjà en cours,
Prolongeant d’autant plus votre séquestration
Le temps de clarifier votre situation,
Jusqu’au rassemblement d’une nouvelle Cour. »

La porte s’est refermée, de nouveau le silence
Envahit et ma geôle et mon âme et mon corps…
A présent peu m’importe, le juge, ou bien la Mort…
J’attends… de l’un des deux viendra la délivrance…

aller sa faisait longtemp cadeu pour vous fait maison

Un jour,
Je t'emmenerait la
autour de tout
et en meme temps loin de tous
au pire je t'attendrait la
les pieds baignants dans l'eau
immobile sans réaction
regardant se soleil si beau
en inscrivant dans mes souvenirs cette vision
Rien ne me ferait plus plaisir
que de passée du temps en ta compagnie
lorsque tous ceci sera finit
n'oublie pas de sourire
tout sa pour dire
que ou tu soi
en quelque sorte je suis avec toi
tout en gardant mon sourire












Frère de guerre
Dire qu’au début
Nous étions amis
Puis par la suite ennemi
Tout a du être prévu
Toutefois blessé
Tu ma demander
Si je pouvais te sauver
Et t’aider à combattre tel un allié
Alors je reprends les armes
Me conduit comme une bête féroce
Afin de t’éviter tous ces drames
Dans des crimes atroces
Puis la pluie est tombée
Rincent ainsi les vallées
Leur armée étant dessouder
Nous les fires tomber
La guerre s’acheva grâce à toi
Nous étions gagnants
Puis chacun suiva sa voix
Au grès du vent